La reproduction des êtres vivants

La reproduction des êtres vivants

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Cycle 3
Durée
6h

Type de ressources

Séquence d'activités

Type d'activité

Au sein d’une séquence

Auteur(s)

Marie Alayrac
Gilles Brunot
François Lusignan

Thème(s) Scientifique(s)

Anatomie, croissance, reproduction
Vivant et évolution
Diversité des espèces
Evolution et classification
Animaux et élevages

Thème(s) pédagogique(s)

Sciences et langage
Démarche d'investigation

Crédits

CC BY-NC-SA 4.0 International

La distinction entre procréation sexuée et reproduction végétative asexuée est transversale aux deux règnes animal et végétal et le passage de l'un à l'autre est aisé.
Ce module propose de traiter dans une même étude la reproduction chez les végétaux et les animaux, parmi lesquels l'homme qu'aucun mode de reproduction particulier ne distingue.
En raison des contraintes liées au sujet, l'étude documentaire tient une place prépondérante mais l'expérimentation et l'observation (semis, boutures, levure de boulanger ...) ont aussi leur part.


Il y a plusieurs avantages à passer alternativement des animaux aux végétaux :
• Un gain de temps pour traiter un programme de sciences très chargé au cycle 3.
• Une meilleure compréhension de la sexualité qui s'exprime sur des modes différents selon les espèces animales ou végétales mais avec une constante pouvant être exprimée par la fonction : spermatozoïde/pollen + ovule => œuf/graine

Deux parents permettent par la combinaison de leurs caractères de procréer un ou des individus différents d'eux mêmes et de générer de la diversité. Cette stratégie s'oppose à la reproduction végétative qui reproduit à l'identique les individus à partir d'un seul parent.

• Graines de haricot, fève mises à tremper 24 heures

• Rameaux de saules, begonia, geranium ...

• Pots, terreau

• Levure de boulanger, eau, sucre.

• Microscopes grossissement X400 minimum à emprunter au collège du secteur.

• Lames de verre, lamelles.

• Être capable de distinguer la procréation ou reproduction sexuée (avec les principales formes qu’elle peut prendre chez les animaux ou les végétaux) et la reproduction non sexuée (exemple du clonage naturel des végétaux).

• Être capable de procéder, chez des animaux, à des comparaisons entre les modes de développement ovipare et vivipare.